Brexit : Philippe de Lambert des Granges est nommé pour accompagner les pêcheurs français

Mis à jour le 05/01/2022

Communiqué de presse

Dans le cadre de la mise en œuvre de l’Accord de Commerce et de Coopération entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, Annick Girardin, ministre de la Mer, nomme Philippe de Lambert des Granges en charge de l’accompagnement des pêcheurs impactés par le Brexit. Il est actuellement « Chargé de mission à l’Inspection Générale des Affaires maritimes » en appui à la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture (DPMA).

Diplômé de l’Ecole d'Administration des Affaires Maritimes, Philippe Lambert des Granges est un expert du milieu maritime avec une expérience de terrain reconnue, particulièrement dans le domaine de la pêche. Dernièrement, entre juillet 2018 et septembre 2021, il était directeur de projet Brexit à la Direction des Pêches Maritimes, ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, puis ministère de la Mer.

Mandaté pour 3 mois, appuyé par les services déconcentrés, il sera chargé d’accompagner individuellement chaque pêcheur n’ayant pas obtenu de licence et de faire remonter, au cas par cas, les difficultés identifiées sur le terrain auprès de la Direction des Pêches Maritimes et de l’Aquaculture mais aussi le cas échéant des représentants de la filière. Son agenda et ses coordonnées sont disponibles ci-dessous.

Pour contacter Philippe de Lambert des Granges :

 

En complément, et sur la base de ces consultations, Philippe de Lambert des Granges participera à la réflexion sur le plan d’action pour une pêche durable annoncé par la ministre lors des Assises de la pêche les 18 et 19 novembre dernier.

« J’ai désigné Philippe de Lambert des Granges, administrateur général des affaires maritimes, pour entreprendre cette mission d’accompagnement spécifique, en raison de sa parfaite maitrise des enjeux du Brexit. Je sais également pouvoir compter sur sa très bonne connaissance de la filière pêche, des organisations professionnelles, et des dispositifs d’aide qui pourront être mis en place. Et évidemment le travail continue pour faire valoir nos droits, selon le souhait du président de la République exprimé devant les professionnels en fin de semaine dernière. »

Annick Girardin